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Voyons la vie autrement!

  • Photo du rédacteur: Jihene Salhi
    Jihene Salhi
  • 8 mars 2019
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 10 mars 2019


Sujet fort préoccupant que celui-là! En effet, on a tous entendu parler d’un jeune qui s’est enlevé la vie à un moment donné. L’analyse des études scientifiques démontre que la plupart des jeunes qui se suicident sont atteints d’une forme ou d’une autre de maladie mentale. Mais attention! Ce n’est pas toujours le cas pour ceux qui font une tentative de suicide.


Les principaux problèmes manifestés

La solitude

La dépression

Les déceptions amoureuses

Les relations familiales difficiles

L’avenir incertain

La dépendance à l’alcool et aux drogues

La majorité des gens qui songent au suicide l’expriment : « Je veux en finir » ou « Vous seriez bien mieux sans moi. » À ces manifestations verbales s’ajoutent des modifications au niveau du comportement. Le jeune va avoir tendance à s’isoler ou à développer des intérêts particuliers pour les armes ou les médicaments. Il peut aussi se mettre à donner toutes ses affaires. Au niveau psychologique, on retrouve parfois des symptômes dépressifs comme la tristesse, les pleurs, l’irritabilité, la fatigue excessive.

Les signes peuvent prendre différentes formes. Même s’ils n’indiquent pas que le jeune va passer à l’acte inévitablement, ils nécessitent tout de même d’être pris au sérieux lorsqu’on les détecte


Que doit-on faire ?

Lorsqu’on craint que notre enfant n’entretienne des pensées suicidaires, on ressent souvent de la panique. L’impuissance, la culpabilité, l’incompréhension sont autant de réactions qui se mêlent les unes aux autres. Toutefois, on peut aider le jeune à passer au travers. Comment? En abordant le sujet ouvertement avec lui. Il faut vérifier si l’adolescent est réellement impliqué dans un processus suicidaire. Plus le processus est avancé, moins les appels à l’aide sont clairs. Il ne faut pas avoir peur de poser des questions directes sur le sujet . On doit tenter de briser l’isolement dans lequel l’adolescent s’est réfugié, dédramatiser la situation et lui offrir la possibilité d’exprimer ses problèmes.

Il faut également comprendre ce que l’adolescent vit et ce qui l’a amené à réagir de la sorte. Ensemble, on doit explorer les solutions qui s’offrent et explorer les ressources existantes. Il faut surtout éviter de juger, menacer ou moraliser.

Si vous percevez des signes qui vous inquiètent, parlez-en avec votre enfant et n’ayez pas peur d’aller chercher de l’aide extérieure.

Quand on aime son enfant, on doit tout tenter pour qu’il s’en sorte.

Psychologie 5 à 11 ans

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